Le fils d’Anne fait des études en France et peine à trouver un emploi à la sortie de ses études. Après un séjour en Espagne, il trouve une perspective d’embauche dans une association à Barcelone. Mais il doit déménager là-bas rapidement et ne dispose pas de l’argent nécessaire pour cela.
Anne décide de lui filer un petit coup de pouce, le dernier, qui lui permettra de rentrer définitivement dans la vie active, et elle cherche donc à faire un prêt.
C’est d’abord le concept de Younited Credit qui séduit Anne lorsqu’elle cherche à emprunter : des investisseurs qui financent directement les crédits à la consommation des ménages. Elle remplit une demande en ligne sur le site, un peu mal à l’aise de devoir demander de l’argent et ne sachant pas trop si son dossier sera accepté. Elle commence à angoisser : est-ce normal quand on a ses revenus de demander un prêt ? Certains de ses amis gagnent moins d’argent qu’elle et n’ont jamais eu besoin de demander de l’argent. Est-ce parce qu’elle ne sait pas gérer son argent ? Les questions anxiogènes prennent le dessus sur ses démarches, et elle éteint l’ordinateur après cette demande.
L’appel qu’elle reçoit le soir même est comme une « bouffée d’oxygène ». Elle ne s’y attend pas du tout. Le conseiller qu’elle a en ligne reprend son dossier avec elle. C’est simple et chaleureux. Anne n’a plus l’impression de faire quelque chose de mal. Tout est expliqué, clairement, « sans chichi », et tout devient « normal ». Le conseiller la déculpabilise : sa demande est tout à fait légitime, et n’a rien d’irresponsable. L’angoisse disparait et ne reviendra finalement jamais. Elle a un suivi quasi quotidien de son dossier, par mail et par texto. Neuf jours plus tard, les fonds sont sur son compte et elle fait le virement à son fils.
Younited Credit lui a permis de souffler doublement : en lui apportant rapidement une réponse définitive et sans jugement sur son projet; et parce que son fils va maintenant pouvoir se construire et vivre la vie qu’il mérite. C’est pour cette raison qu’Anne souhaite à l’entreprise de « continuer à se développer le plus possible, en gardant la gentillesse de ses conseillers ».